Les femmes ont toujours été des leaders efficaces dans le domaine de l'éducation et des activités culturelles. Elles ont établi leur puissance dans le domaine de la production d'œuvres académiques, littéraires, non fictionnelles et culturelles. Bien qu'il n'existe pas beaucoup de littérature sur les réalisations des femmes dans ces domaines, un certain nombre d'efforts positifs sont déployés pour reconnaître l'importance des femmes dans les développements actuels.
Créatif
Leur contribution à la littérature, en tant qu'auteurs, est pourtant évidente. En réalité, les femmes sont impliquées dans la création littéraire depuis très longtemps. Elles ont contribué à des revues, des journaux et des magazines réputés. La différence est qu'elles avaient l'habitude de publier leurs œuvres sous le couvert de noms masculins. L'histoire nous apprend que les Égyptiennes ont commencé à écrire dans des journaux masculins dans les années 1880 et qu'en 1890, de nombreuses jeunes filles issues de la classe moyenne arabe publiaient leurs propres journaux et revues.
Ils étaient principalement originaires d'Égypte, du Liban et de Syrie. La première revue a été publiée en 1892 par Hind Nawfal. C'est en 1914 qu'un autre magazine populaire, "Fatat Lubnan", qui se traduit par "femme du Liban", a été créé par Salima Abu Rashid. Il s'agissait d'un effort pour remonter le moral des jeunes filles arabes et cet objectif a été très apprécié. Salima s'est consacrée à la promotion de la féminité, s'est opposée à la corruption et a résisté à l'oppression tout au long de la période. Une autre militante de la liste est Ajamy, qui a été à l'origine d'un effort d'alphabétisation des jeunes filles arabes sous la forme d'un club d'alphabétisation des femmes la même année, c'est-à-dire en 1914. Julia Dimashqiya s'est également jointe au rallye en 1921 en lançant un magazine féminin exclusif intitulé al-Mar'a al-Jadida, ce qui signifie "nouvelles femmes".
Bon à savoir
Le magazine a d'abord été lancé à Beyrouth et s'est consacré exclusivement à la promotion des filles arabes afin qu'elles s'impliquent dans le développement social et qu'elles s'améliorent elles-mêmes. Un autre magazine, Al-Fajr, a été lancé exactement la même année par une autre militante des filles, Najla Abu al-Lam'. Najla a concentré ses efforts sur l'apport de nouvelles études et de nouveaux travaux à la compréhension des filles arabes et les a invitées à agir. Al-Fajr signifie "l'aube" et ce magazine avait pour but d'apporter. Nur al-Fayha, qui signifie Lumière de Damas, a été créé par Nazik Abid avec l'intention de mettre en lumière la discrimination en tant que cause fondamentale des problèmes domestiques dans la région.
La devise était de promouvoir l'égalité et les femmes. Il y a eu beaucoup d'autres initiatives similaires lancées par les femmes dans la société arabe et qui ont joué un rôle essentiel dans l'amélioration du moral des jeunes filles. Récemment, des sites ont été créés, semblables aux versions numériques des magazines d'hier, qui poursuivent la même croisade de manière plus interactive.
Conclusion
Ces sites diffusent des informations sur la position mondiale des jeunes filles et offrent aux femmes arabes une plateforme pour se représenter au niveau international par le biais des médias en ligne. Ces sites proposent des adhésions gratuites aux jeunes filles et leur offrent un moyen de faire connaître leur point de vue au monde entier. Ces sites encouragent également les jeunes filles à prendre conscience de leurs droits et à les obtenir.